Grand nettoyage
ça y est, cette fois, c'est le grand nettoyage...
Après mon passage éclair à Hong Kong, je n'ai finalement eu le droit que de rester un mois de plus, ce qui veut dire quitter la Chine avant la fin Novembre. Il fallait bien que ça se termine un jour, ça sera maintenant !
Je nettoie, je tri, je range, je donne ce dont je n'ai plus besoin, je vend aussi un peu au rabais pour me débarasser, j'abandonne le reste... Il va bien falloir faire tenir 2 ans de ma vie dans 30kg de bagages...
Et puis ce sont les dernières soirées, les derniers concerts, toutes les pensées qui s'accumulent "tiens, je n'irai plus jamais ici, je ne ferai plus jamais ça, je n'ai pas eu le temps de faire ci ou ça etc".
Ne pas penser, surtout ne pas penser pour ne pas être trop triste...
Je me suis souvent répété que Shanghai, c'était pour moi des grandes vacances avec des gens et des lieux auquels on ne s'attachent pas trop. Je n'ai pas été triste au moment où des potes sont partis, rentrés chez eux, je me disais qu'on arriverait bien à se recroiser un jour, quelque part. Mais maintenant que c'est à moi de partir, dès que j'y pense, je sens l'émotion qui monte... Qui aurait dit ça en lisant mes premiers mois de blog, hein ?
Bon aller, pas le temps de larmoyer, il faut que je profite du temps qu'il me reste !!
Après mon passage éclair à Hong Kong, je n'ai finalement eu le droit que de rester un mois de plus, ce qui veut dire quitter la Chine avant la fin Novembre. Il fallait bien que ça se termine un jour, ça sera maintenant !
Je nettoie, je tri, je range, je donne ce dont je n'ai plus besoin, je vend aussi un peu au rabais pour me débarasser, j'abandonne le reste... Il va bien falloir faire tenir 2 ans de ma vie dans 30kg de bagages...
Et puis ce sont les dernières soirées, les derniers concerts, toutes les pensées qui s'accumulent "tiens, je n'irai plus jamais ici, je ne ferai plus jamais ça, je n'ai pas eu le temps de faire ci ou ça etc".
Ne pas penser, surtout ne pas penser pour ne pas être trop triste...
Je me suis souvent répété que Shanghai, c'était pour moi des grandes vacances avec des gens et des lieux auquels on ne s'attachent pas trop. Je n'ai pas été triste au moment où des potes sont partis, rentrés chez eux, je me disais qu'on arriverait bien à se recroiser un jour, quelque part. Mais maintenant que c'est à moi de partir, dès que j'y pense, je sens l'émotion qui monte... Qui aurait dit ça en lisant mes premiers mois de blog, hein ?
Bon aller, pas le temps de larmoyer, il faut que je profite du temps qu'il me reste !!